Dans un pays de misère et de guerre, avoir la
possibilité de fabriquer son pain, de le voir dorer dans un beau four à bois
est une vraie grâce et une vraie joie.
Ce matin, dans la communauté des sœurs de
Saint Joseph de Tarbes, Sœur Georgine s’est levée de très bonne heure pour
enfourner le pain qui reposait avec sa levure depuis la veille.
Avec la sentinelle de la communauté elle a
préparé le brasier, installé les boules de pâtes dans le four et attendu sous la
pluie !
Un peu de pain chaud et d’eau fraîche... et voilà
que la guerre, la misère, les souffrances et les soucis prennent une autre
couleur...
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