Il s’agit effectivement des cinq « clous » du cierge pascal.
Ces clous devraient être de gros grains d’encens, apposés sur le cierge au moment de sa bénédiction lors du feu de la veillée pascale.
Ces clous-ci sont ceux de la paroisse de Vernayaz, paroisse de l’Abbaye de Saint-Maurice (Suisse)
Ces clous devraient être de gros grains d’encens, apposés sur le cierge au moment de sa bénédiction lors du feu de la veillée pascale.
Ces clous-ci sont ceux de la paroisse de Vernayaz, paroisse de l’Abbaye de Saint-Maurice (Suisse)
Voici la version puriste, que les paroisses adaptent à leur conditions propres (pastorales, techniques et ornementales) :
« Après avoir béni le feu nouveau, le célébrant grave sur un long cierge de large section les symboles suivants : une croix, l’Alpha et l’ Oméga (voir A), enfin les quatre chiffres de l’année ; il prononce, ce faisant, les formules prévues dans le missel. Cinq grains d’encens enflammés peuvent alors être implantés dans le cierge, rehaussant la croix déjà tracée, en symbole des cinq plaies glorieuses du Christ en sa Passion. On allume le cierge pascal au feu nouveau, le diacre le porte en tête de la procession et pénètre dans l’église obscure où il marque trois arrêts pour proclamer : « Lumière du Christ ! ».
(Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie)
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