Les
pique-bœufs me donnent des ailes lorsque tout est trop terre à terre sur ma
colline congolaise. Depuis quelques mois, une colonie s’y est établie et nous
nous apprivoisons mutuellement. De proche en proche. Hier deux étaient presque
sur le pas de ma porte, dans la cour intérieure de notre maison-mission. Je
cours chercher mon appareil de photo quand, un peu impressionnés, ils
s’envolent. Clic...
Mon Carême
fut un tantinet morne et désertique, donc c’était un Carême. Il a fallu de
proche en proche me réapprivoiser mon être et notre Dieu. Plus facile avec Dieu
qu’avec son être soi !
Mais c’est
maintenant le temps de l’envol pascal.
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