En ce jour, je me réinstalle sur Facebook, dont depuis trois semaines le gouvernement de la République démocratique du Congo par précaution anti-démocratique avait privé le peuple, pourtant seul garant de la vie démocratique !
Je ne suis pas citoyen congolais donc je ne reviens pas sur ce fait lamentable ni sur les côtés lamentables de l’élection qui vient d’occuper toutes les énergies dans le pays (cf. mon article précédent sur ce blog).
Ce petit Carême de Facebook m’a fait du mal car je me plais bien dans la compagnie des groupes d’intérêt que je fréquente : poésie, littérature, calligraphie, monarchies d’Europe, patrimoines architecturaux et même athées et autres laïcs bouffeurs de curés (il ne faut pas avoir que ses amis comme Amis de Facebook !)...
Mais cette cure d’austérité informatique m’a fait aussi du bien car j’ai plus lu : je suis arrivé au bout d’une œuvre terrible : « L’œuvre », roman de Zola, noir au possible sur la peinture colorée de la fin du 19e ; puis j’ai attaqué le plus court mais tout aussi passionnant « Joueur d’échec » de Zweig...
Il faudrait que chaque minute dure deux minutes, et ainsi avoir de la place pour tout faire dans ce monde si passionnant.
Et aussi pour avoir le temps de regarder les pique-bœufs de ma Colline au Kasaï, s’envoler majestueusement, comme le nouveau Congo du Président Tshisekedi, investi aujourd’hui, nouveau Congo qui va prendre un essor de justice, de paix et de prospérité. Il faut espérer.
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